Du haut de ses 987 m vous découvrirez un panorama à 360° sur les Pyrénées d’un côté et l’Océan de l’autre en passant par la vallée de l’Adour bien sûr...
La Bidouze dessine ses méandres dans une petite vallée forestière entourée de collines; nous sommes dans les Pyrénées Atlantiques à Came dans un endroit sauvage et très prisé par les amateurs de champignons: « le Cout ». La Bidouze est une jolie rivière qui se jette dans l’Adour et ses eaux sont claires, elle coule sur des dalles de grés qui permettent le passsage à gué à de nombreux endroits notamment au gué des Maures et au gué de la Ferrière que l’on appelle aussi « les pierres ».
à 20 km, 2 heures de vélo
Un beau circuit qui allie les charmes du bord de la rivière Bidouze et du chemin historique des pèlerins de Saint Jacques…
à 40 km en voiture 3 heures de rando
Une montagne à gravir selon les fantaisies par les pâturages ou par la piste
Depuis Itxassou, passez le « pas de Roland » et continuez jusqu’au col des veaux. Garez la voiture au parking devant la ferme Esteben.
3 heures de balade dans les pâturages en pente douce sur « le long dos »
"t’as l’impression que tu peux te cacher à l’autre bout du monde » Gisèle
À la rencontre des vautours.
Il faut compter une bonne demi-heure en voiture à partir du Pas de Roland jusqu’au Col des Veaux sur une petite route sinueuse et dans un vallée boisée très sauvage en compagnie du Laxia un très joli torrent. On laisse la voiture au col en bordure des pâturages.
à 20 km en voiture...une boucle de 8 km 2 h de marche
A partir du village d'Ayherre, vous gagnez très vite les hauteurs, vous êtes aussitôt dans les pâturages sous le regard surpris et interrogateur des troupeaux de moutons et brebis, car il n'y a pas grand monde qui passe...
...il existe une voie secondaire ignorée des guides officiels qui passe par l’abbaye d’Arthous à Hastingues sur le parcours des anciennes transhumances
Noisette, Youkoulélé, Caramel et autres vous attendent au Poney club des îles.
Ailleurs, sur une autre planète,
On imagine la vie comme autrefois dans les fermes isolées au bout de routes improbables qui ne sont plus entretenues et qui sont redevenues des chemins défoncés..Je n’ai d’ailleurs croisé qu’une seule voiture de tout l’après-midi
.Les éleveurs dans ses montagnes doivent avoir un travail difficile . Pourtant j’ose imaginer qu’ils sont heureux ainsi mais je me trompe peut-être